Texte Aweel

Pour les plus intellectuelles ceci s'appelle une nouvelle =)
Je préviens je l'ai écrite en 5 minutes donc évidemment toute faute de grammaire, formation, conjugaison est à prévoir =)
Prenez le temps de la lire c'est pas un truc qu'on lit en 1 minute =)
Imaginez-vous la scène et laissez vous bercer =)


Un être si fébrile, entourée d'une enveloppe charnel, dont l'âme si pur ne fait que refléter la souffrance et la tristesse que la vie nous inflige, jour après jour, semaine après semaine, une main posée sur la poitrine, la bouche légèrement ouverte, le souffle humide sur le carreau, l’odeur de cette chambre dans laquelle toute les nuits il avait dormis près de celle qu’il avait cru aimer à tout jamais . Les rêves ne sont qu’illusions bercer de charme dans ce qui semble nous toucher le plus. Un seul mouvement avait suffit à retirer tout ce qui lui importait et aussi tout ce qui avec elle aurait pu encore construire, un avenir de douleur ne faisait à présent plus que l’attendre. Il avait déjà pensé à prendre cette arme et à la retourner contre lui retirant ainsi ce qui restait de peine. Mais elle, ce qu’elle fut jadis aurait été contraire à cette idée . Son cœur était brisé plus jamais il ne pourrait envisager la vie de la même façon. L’amour ce sentiment qui faisait si mal, si bien lui était à présent interdit moralement. Il leva les yeux, son regard fatigué vers ce qui lui semblait le couché du soleil, le temps qu’est-ce ? Seulement ce qui fait passer la vie, comment vivre si celle-là nous quitte peu à peu ? Vivre d’un brasier chaud n’est plus d’actualité, luter contre le brouillard givrant, oublier sa peine sous la paperasse, travailler à en oublier son anniversaire, son prénom voilà la vie à présent comme la conçois cet homme qui avait tant espéré ne serait-ce qu’une douce caresse des lèvres de sa défunte compagne pour le raviver lui, le sortir de cet hiver sans fin. Il prit le manteau qui était posé sur le rebord du lit, cette nuit il ne dormirait pas ici. La porte claquée à peine qu’il n’eut le temps de lire les dernières paroles lui étant destinées sur un papier qui venait de s’envoler.